Orange a finalement décidé de ne pas céder sa filiale helvétique au dossier formé par Xavier Niel, avec le soutien de Goldman Sachs Capital Partners et du fonds de private equity Doughty Hanson.
Dans un souci de recentrage de ses activités, France Télécom avait annoncé cette année sa volonté de se débarrasser de sa filiale en Suisse. Rapidement, un candidat au rachat inattendu s’était fait connaître : Xavier Niel, fondateur de Free…
L’offre du trublion n’a toutefois pas eu les faveurs d’Orange. Parmi les cinq offres reçues, l’opérateur a privilégié le dossier constitué par le fonds d’investissement Apax Partners. Le montant de la vente s’élève à « une valeur d’entreprise de 2 milliards de francs suisses (1,6 milliard d’euros) ».