Un article de l’hebdomadaire Le Nouvel Economiste, datant du 1er au 7 juin 2006, rédigée par le chroniqueur Henri de Bodinat (consultant pour N9uf Télécom) revient sur la stratégie de séduction employée par Free.
La séduction ? Il la définit comme « une stratégie qui consiste à créer pour le marché une illusion éloignée de la réalité. »
Il se base sur les tarifs de la hotline qui, selon lui est une source de revenus, au vu de la complexité de la Freebox et qualifie les services de Free de « mafieux ».
Un article sans interêt puisqu’il ne fait que dénigrer Free sur la base de déclaration sans fondements. A la comparaison entre Infogrames et Electronic Arts citée dans l’article, répond la comparaison entre l’affaire Marianne et la (future ?) affaire Nouvel Economiste.