Alors que certains analystes prêtent à Free Mobile le pouvoir de faire disparaître, directement et indirectement, jusqu’à 50 000 emplois sur le secteur des télécoms, Jean-Ludovic Silicani, président de l’Arcep (Autorité de régulation des télécoms), se veut rassurant.
Lors d’une conférence télécoms organisé par Les Échos, il a affirmé que les opérateurs n’auraient pas besoin de réduire l’emploi suite à l’arrivée de Free Mobile. Selon lui, le simple retour à un niveau d’investissement plus modéré en 2012 (6 milliards d’euros prévus au lieu de 7,9 milliards en 2011) suffirait à « absorber la baisse des marges éventuelle ».
Ainsi, si un opérateur s’appuie sur l’excuse Free Mobile pour licencier, vous n’êtes pas obligés de le croire sur paroles…
Source : Les Échos