Les objectifs fixés par le gouvernement dans le cadre du New Deal Mobile, en application depuis 2018 étaient ambitieux, mais ont permis d’atteindre les – de 2% de couverture du territoire en zone blanche en 5 ans, alors que celle-ci en représentait 11% auparavant, ainsi que cela ressort d’un bilan étali par l’ARCEP.
Pour rappel les opérateurs ont régularisé cette convention avec le gouvernement soucieux de réduire à son minimum syndical, la fracture numérique.
Si le déploiement ne s’est pas déroulé sans douleur, il a cependant été possible grâce à un maillage efficace mené de main de maître par les opérateurs, sous la houlette de l’ARCEP qui en fixé peu ou prou les règles ce qui a rendu possible entre la fin de l’année 2017 et celle de 2022, la multiplication par 2 du nombre de sites 4G atteignant 88% de couverture du territoire à la fin du troisième trimestre 2023, par l’ensemble des opérateurs présents sur le marché.
En d’autres termes, l’hexagone bénéficie d’une couverture 4G quasi totale selon les derniers chiffres relevés qui ne sont pas véritablement récents puisqu’ils datent de la fin 2022, alors que le rythme du déploiement se poursuivait à bon train sur 2023.
Deuxième donnée encourageante : le rythme de déploiement par département qui reste élevé malgré la proximité de l’objectif final qui passe du nombre de 6 avec un taux supérieur à 90% en 2015, à 6 en 2022 avec moins de 90% de couverture, inversant ainsi la tendance.