Un lancement intervenu après celui de SFR le 20 novembre dernier, avec un réseau compatible 5G, sur une quinzaine de villes dont Nice, Cagnes-sur-Mer, Saint-Laurent-du-Var, Marseille, Angers, Les Ponts-de-Cé, Trélazé, Clermont-Ferrand, Aubière, Beaumont, Chamalières, Le Mans, Allones, Coulaines et Yvré-L’Evêque avant d’assurer la couverture, d’ici quelques jours, de pas moins de 160 agglomérations notamment autour de Toulouse, Montpellier, Douai, Lille, Lens, Pau, Strasbourg, Mulhouse et Paris.
Cette entrée sur le marché s’effectue pour l’heure, sur les bandes de fréquences 3,5 GHz dont les débits sont déjà comparables à ceux d’une connexion fibre avec 1 Gb/s en download pour une couverture ciblée conférant une connectivité accrue ainsi qu’un confort de navigation avant d’évoluer vers du 2,1 GHz pour certaines zones, ce qui permettra de couvrir un territoire plus vaste avec toutefois un débit moins important tout en permettant, dès 2023, de donner accès aux nouveaux services 5G dans les zones 4G.
Une politique de déploiement volontaire ; la priorité ayant été donnée aux coeurs de ville afin d’apporter plus de capacité dans des zones déjà fortement sollicitées et éviter tout risque de saturation en apportant des débits supérieurs (3 à 4 fois aujourd’hui, 10 fois à terme).
Du côté des investissements, le budget consacré par Orange pour le déploiement de son réseau, représente pas moins de 500 à 66 millions d’euros par année.