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Journée freenautes 2016 : concurrence, entrée au Royaume-Uni, promotions, boutiques… (partie 2)

Série d’articles spéciale journée des communautés freenautes 2016 — Thomas Reynaud, directeur financier et du développement, a succédé à Antoine Levavasseur et Maxime Lombardini sur scène. Là encore, avec quelques chiffres flatteurs pour le groupe, en tête de course sur le recrutement mobile pour le 17ème trimestre consécutif, et doté d’une capacité de financement annuelle d’1,5 milliard d’euros.

Marché à quatre opérateurs et arrivée à l’international

Free envisage l’avenir de façon sereine. Pour lui, le marché à quatre opérateurs mobiles offre une viabilité et une stabilité suffisantes. Les diverses négociations avortées de ces derniers mois entre opérateurs ont été abordées. À ce sujet, Free reste vigilant quant à un éventuel rapprochement de type Bouygues-SFR ou Orange-SFR, qui conforterait, selon lui, la position dominante d’Orange.

received_1222076814471040Sur les rumeurs d’une éventuelle arrivée de Free au Royaume-Uni : Iliad a effectivement évalué ses chances en tant que nouvel entrant, grâce aux solutions concurrentielles mises en place en marge de la fusion prévue entre Three (Hutchinson) et O². Mais le sujet n’est plus d’actualité, la Commission européenne ayant coupé court au projet de fusion. Grâce à sa forte croissance en France, le groupe Iliad ne ressent pas de besoin particulier de s’internationaliser.

L’innovation est le maître-mot, dans l’avenir immédiat, sur le mobile. C’est en tout cas l’objectif avoué de Thomas Reynaud, qui n’a pas caché son intention de déployer une politique agressive à ce sujet.

Multiplication des promotions

Véritable reproche fait à Free ces dernières années, la multiplication des promotions via Vente-Privée.com semble convenir à l’opérateur, qui indique que les abonnés attirés de cette façon conservent leur abonnement « quasi-systématiquement » au-delà de l’année de promotion. On peut voir, du reste, que cela n’entame pas la croissance du groupe, bien au contraire.

Cela reste, quoi qu’il en soit, un mode de recrutement marginal.

Un nombre « idéal » de Free Centers en France

Actuellement au nombre d’une cinquantaine à travers toute la France, le déploiement des Free Centers va se poursuivre encore quelque temps pour atteindre 70 à 75 boutiques sur le territoire.

Même si Free continue à recruter essentiellement sur Internet, la présence de boutiques permet de rassurer certains clients potentiels, réticents à l’idée d’une souscription en ligne, et offre à la marque une vraie proximité avec ses abonnés existants.

Retour sur la journée des communautés freenautes 2016

Crédits dessins & photos : Freenews

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