Depuis vendredi dernier, les abonnés Free sont confrontés à des perturbations persistantes de leurs services, notamment de leur plateforme de messagerie Zimbra. Les témoignages d’utilisateurs mécontents affluent, faisant état de difficultés d’accès, de ralentissements et d’interruptions intempestives.
Si l’ampleur de la panne est indéniable, ses causes demeurent un mystère. Free n’a pour l’instant fourni aucune explication officielle sur l’origine de ces dysfonctionnements, ni sur les mesures prises pour y remédier. Cette absence de communication transparente alimente les spéculations et amplifie l’inquiétude des abonnés.
Les conséquences de cette panne sont multiples : difficultés à gérer ses emails professionnels, impossibilité d’accéder à des informations importantes, perte de temps et de productivité… Les utilisateurs se retrouvent plongés dans l’incertitude,sans savoir quand ni comment la situation sera résolue.
« Anne ma soeur Anne … »
Face à ce silence de la part de Free, qui indique cependant un rétablissement aux alentours du 26 juillet prochain, soit plus d’une semaine après le début du dysfonctionnement, les interrogations se multiplient : s’agit-il d’un problème technique mineur ou d’une panne plus grave ? Quelles sont les solutions envisagées pour rétablir le service ? Quand les abonnés pourront-ils à nouveau utiliser Zimbra normalement ?
L’absence de communication de la part de Free est d’autant plus regrettable que les abonnés sont en droit d’attendre une information claire et transparente de la part de leur opérateur. En l’absence d’explications officielles, les rumeurs et les spéculations vont bon train, alimentant le mécontentement et la frustration des utilisateurs.
Il est urgent que Free sorte de son silence et communique de manière transparente sur cette panne. Les abonnés ont besoin d’être rassurés et informés sur les mesures prises pour rétablir le service. En attendant, la situation reste préoccupante et les conséquences de cette panne pourraient se faire sentir pendant encore un certain temps.