Et pourtant il était bien précisé lors du lancement de cette nouvelle box, que les stocks allaient suivre.
Alors succès sous-évalué, mauvaise gestion du stock ou bien au contraire véritable plébiscite pour l’offre de la part des nouveaux abonnés comme des anciens désireux d’opérer une migration, nul ne le sait véritablement encore, mais force est de constater que les retards ne cessent de se cumuler et de provoquer quelques impatiences de la part des souscripteurs.
Il est vrai que ce qui fait le véritable attrait de la Pop c’est la modularité de son offre notamment avec le Server de sa grande soeur, la Delta dont le tarif d’acquisition du player idoine considéré comme excessif par certains doublé du défaut de Dolby Atmos pourtant promis dès le départ, permet de trouver un palliatif beaucoup plus sage pour certaines bourses.
Grogne du côté des fidèles mais satisfaction des derniers recrutés.
Deuxième point faible : la pénalisation des abonnés en demande d’une migration vers cette offre couplée, qui doivent attendre pas mois de trois mois en moyenne, pour être destinataires de leur matériel, au bénéfice des nouveaux recrutés qui eux sont livrés en temps et heure.
Un engorgement dont Free est assez coutumier du fait et qui semblait à prime à bord anticipé alors que la marque donne un grand coup de ménage dans ses offres jugées peu claires, en éliminant la mini-4 k.
Du côté de l’opérateur, la situation ne paraît pas alarmante bien au contraire, et se révèle avant tout un gage du succès rencontré par la sortie de la Pop dans un contexte d’austérité et d’incertitude, qui ne la donnaient pas forcément bien partante sur le marché des offres fixes.