Dans le courant du mois d’avril dernier, un certain nombre de grandes lignes Fibre ont fait l’objet d’actes de vandalisme, dénoncés de toutes parts, et qui ont mobilisé l’ensemble des équipes techniques pour obtenir un rétablissement rapide du service.
Le Parquet a été saisi de cette affaire et pour l’heure, rien ne semble filtrer de cette enquête, si ce n’est d’importants soupçons intéressant une branche d’écologistes radicalisés.
Car cet acte, par son importance et sa coordination, s’est révélé d’ampleur, affectant des lignes sur plusieurs centaines de kilomètres, coupées à des points stratégiques, de manière précise sur des câbles particulièrement protégés et aurait surtout pu avoir des conséquences désastreuses au regard de la nature de certaines prises desservies, bien au delà des coupures traditionnelles, qui prennent souvent l’allure d’actes isolés.
Des mouvements écologistes extrémistes pointés du doigt …
Si pour l’heure, aucun nom précis n’a été cité, de gros soupçons pèsent sur des groupements très particuliers, s’inscrivant radicalement contre la numérisation de la société et particulièrement radicaux.
Près de 180 actes de ce genre ont été menés depuis l’année 2020 et la mise en place des premiers confinements, lors desquels le télétravail et l’école à distance ont pris une place majeure socialement parlant/
Direction qui semble avoir fortement déplu à certains groupuscules extrémistes, depuis lors organisés et particulièrement attentistes sur les infrastructures des opérateurs.
En effet, on recense à l’heure actuelle, près de 180 actes de cette nature depuis cette date.