Site icon Freenews

Le slamming fait des ravages

 

La République du Centre, quotidien du Loiret, revient, le 16 mai dernier, sur le slamming.

Le slamming est “une coupure de l’accès Free Haut Débit par un autre opérateur à l’insu du plein gré du Freenaute” (Alexandre Archambault).

Merci Gelikhan ! 😉

Résumé de l’article :

Un jour, un abraysien Gilles P. n’arrive plus plus à surfer avec sa connexion Free Haut Débit, sa Freebox lui affichant un beau PPP clignotant. Croyant au début qu’il s’agissait d’une simple panne de connexion passagère, il commença à s’affoler lorsqu’il reçut une colis de la part de N9uf Télécom (contenant N9ufbox, module Wifi, antivirus…). Il contacta alors la hotline de Free qui lui confirma son slamming… Il multiplia les contacts avec N9uf Télécom par téléphone et LRAR (Lettre Recommandée avec Accusé de Réception). Pire encore, il reçut quelques jours plus tard, une facture de 106,40 euros (dont 45 euros de frais de fermeture de service), mais fort heureusement, Gilles P. a pensé à bloquer son compte.

On apprend notamment que N9uf Télécom a réussi à se saisir de ses coordonées bancaires lors d’un appel à la hotline. « On peut considérer que c’est de la vente forcée » reconnaît le service « réclamations ».

A ce jour, Gilles P. n’a toujours pas été remboursé et le fait d’avoir subi une déconnexion pendant près de deux mois lui a causé un véritable préjudice. Au final, il cherche à former une association de défense pour mener une affaire en justice.

Revenons-en à Free. En 2005, Free recevait près de 500 plaintes par mois de Freenautes victimes de slamming. A ce jour, ce chiffre a évolué, dans le bon sens, et on se retrouve à 250 plaintes par mois… 250 de trop me direz vous ? Rappelons que Free ne peut faire du slamming vu son unique mode de prise d’abonnement par Internet. (ie. pas de démarchage téléphonique, ni de porte à porte, ni de réseau de distribution).

Quitter la version mobile