Nokia ne s’est pas caché récemment de ses ambitions concernant la 5G et le récent partenariat avec Free assied cette volonté de position dominante face aux pole positions asiatiques notamment en Europe.
L’équipementier finlandais cherche à prouver dorénavant que non seulement il se place en leadership en termes de compétitivité sur les infrastructures, mais également en termes de programmation et de systèmes d’exploitation.
« Connecting people ».
Son principal concurrent sur ce terrain ? Android, sévèrement critiqué quant à ses mises à jour sur smartphones notamment en raison d’un défaut de fragmentation connu, assumé et constant.
Sauf que cette difficulté commence à rencontrer une sérieuse grogne de la part de ses utilisateurs seul Google s’impose plus ou moins volontiers le long pensum de la mise à jour annuelle de l’OS.
Une étude Counterpoint research montre que constructeur finlandais est le plus rapide, en dehors de Google, à proposer les dernières mises à jour Androïd sur l’ensemble de ses téléphones. Le problème récurrent de fragmentation est petit à petit en train de se résorber.
Un pion supplémentaire face à la concurrence asiatique.
Il n’en fallait pas plus pour que Nokia s’engouffre dans la brèche et tente une nouvelle fois de damer le pion de ses concurrents les plus directs (Samsung, Huawei, Xiaomi …) en proposant la quasie intégralité de ses terminaux pourvus d’Android Pied, dernère MAJ du système Google .
Un pied de nez face à l’Asie, qui place une nouvelle fois une entreprise européenne en position de leadership dans un secteur où la concurrence est rude notamment en matière de support et d’innovation technologiques.
Source : Clubic.