Le Gendarme des Télécoms s’est vue confier hier par décision du Parlement, de nouvelles prérogatives, attachées à celles dont il disposait déjà, et relatives au recueil de données intéressant l’empreinte environnementale de l’ensemble de l’écosystème numérique.
Le projet de loi adoptée à l’unanimité entend ainsi renforcer le contrôle de l’impact environnemental du numérique par ce dernier, dans le cadre des dispositions « Climat et résilience » qui lui ont été soumises.
L’Arcep aura donc désormais toute latitude pour opérer sur l’ensemble des opérateurs, un contrôle de l’ensemble des mesures qu’ils auront mises en place pour réduire leur empreinte environnementale mais également de leur efficacité à plus ou moins court terme.
Du côté de Free, les dispositions mises en place ont fait l’objet d’anticipation de la part du Groupe depuis de nombreuses années, et notamment depuis le mois de janvier 2021, avec la présentation des 10 engagements pour le climat par Thomas Reynaud.