D’après le magazine Les Echos, elles doivent avoir lieu fin septembre après avoir été reportées en raison du Covid-19.
L’attribution des fréquences 5G pour les 4 opérateurs français se déroule en 2 étapes. La première s’est déroulée en avril. A ce moment, les opérateurs se sont engagés à respecter les obligations de l’Arcep et ont chacun déboursé 350 millions d’euros pour avoir un de 50 MHz.
Lors de cette deuxième partie, le reste des fréquences de 110MHz sera basée sur des enchères.
A savoir que les opérateurs pourront acquérir des blocs de 10MHz supplémentaires pour un tarif de réserve de 70 millions d’euros par bloc.
Ils devront cependant respecter un plancher de 40MHz et un plafond de 100MHz.
Par la suite, une enchère supplémentaire relative au positionnement des fréquences des lauréats est prévue en octobre.
Les autorisations seront quant à elle délivrées au mois d’octobre ou novembre.
Chaque opérateur en télécommunication pourra alors planifier son calendrier de déploiement et commencer la vente des offres 5G.
L’Arcep a pris la décision de supprimer supprimer son cahier des charges, qui obligeait les opérateurs à ouvrir la 5G dans 2 villes minimum chacun d’ici la fin 2020. Le Covid-19 étant venu perturber le plan initié par le gendarme des télécoms.